Thierry Stolarczyk

Chasseur de particules cosmiques

Présentations grand public

Origine des rayons cosmiques, la fin du mystère ?

Amphi Charpak, LNPHE, Univ. Pierre et Marie Curie (Jussieu), 13 octobre 2018.

Une conférence sur le mystère de l’origine du rayonnement cosmique (RC) en expliquant la complémentarité entre les détecteurs de RC, les détecteurs de neutrinos et les rayons gamma, un contexte idéal pour mettre en perspective la dernière annonce d’Icecube.
 

Dans le cadre du Marathon pour l'Univers, une série de conférences organisées par l'Association française d'astronomie dans son Festival des deux infinis, à l'occasion de la fête de la Science.

Film de la présentation

Présentation, pdf (4 Mo, basse définition)


Scientifique toi aussi !

Centre CEA de Paris-Saclay, 29 mars 2018

Une matinée de rencontres entre 200 lycéens et des acteurs du monde la recheche au CEA, sous la forme d'un "Speed Dating" (photo : Ambiance à EL3).

 


École de physique EφD, "Les messagers de l'Univers"

28 au 30 août 2017, Paris

La découverte par Victor Hess de l'origine cosmique du rayonnement mesuré sur la Terre remonte à 1911. Le spectre en énergie de ces rayons cosmiques s’étend sur plus de 12 ordres de grandeur et les flux décroissent de 31 ordres de grandeur ! Ces particules (dont on sait qu'il s'agit de protons ou de noyaux atomiques plus lourds) peuvent avoir des énergies d’environ cent millions de fois supérieures à celles produites auprès du LHC, l'accélérateur de particules géant du CERN. Leur origine reste en grande partie un mystère, même si on peut raisonnablement penser qu’elle est liée aux phénomènes les plus violents de l’Univers (explosion de supernovae, trous noirs super-massifs, coalescence de trous noirs ou autres). La détection de ces particules, associée à celle d’autres messagers cosmiques d’énergie extrême (rayons gammas, neutrinos et plus récemment ondes gravitationnelles), doit donc permettre de collecter des informations uniques sur la structure, la composition et la dynamique de l’Univers. L’énigme des rayons cosmiques fait l’objet de nombreuses investigations expérimentales auprès des grandes infrastructures internationales. D’où viennent ces rayons ? Quelle sont leurs compositions ? Quels sont les mécanismes des gigantesques accélérations de particules mesurées dans le cosmos ? Quelle en est la limite en énergie ? Des travaux théoriques sophistiqués sont mis en œuvre afin d’apporter des réponses à ces questions fondamentales. La découverte récente des ondes gravitationnelles, prédites presque un siècle auparavant, ouvre une exceptionnelle fenêtre vers le cosmos apportant ainsi une nouvelle dimension à notre compréhension conceptuelle de l’Univers.

Exposé sur l'Univers exploré en rayons gamma à 120 professeurs du secondaire.
Présentation 95 Mo (basse définition, pptx)

 


Lycée Frédéric Joliot-Curie, "Chasseurs de particules cosmiques

14 mars 2017, Dammarie-les-Lys

Exposé à trois classes de première S et  trois classes de TS (pdf partiel de la présentation)


Lycée Chagall, "Chasseurs de particules cosmiques"

13 décembre 2016, Reims

"Exposé à quatre classe de TS (pdf partiel de la présentation).


École Confluence, "Bordures, limites et frontières"

30 septembre 2016, Lyon

Frontières et infinis du Cosmos

Frontières et infinis du cosmos La physique contemporaine permet de construire une représentation du monde au sein de laquelle infiniment petit et infiniment grand se rejoignent. Nous survolerons les édifices qui la sous-tende, le modèle standard de la physique des particules et le modèle du big-bang, deux théories parmi les plus prédictives jamais élaborées. Nous verrons comment elles trouvent leurs limites dans les observations actuelles et les grands questionnements qu’elles laissent encore sans réponse sur la compréhension de notre Univers.

 

Présentation (basse définition, partie 1: ppsx 40 Mo, partie 2 : ppsx 22 Mo)

Scientifique toi aussi !

Centre CEA de Fontenay-aux-roses, 4 février 2016

Pour la 4ème année consécutive, une journée de rencontres entre une centaine de lycéens et des acteurs du monde la recheche au CEA, sous la forme d'un "Speed Dating".


"Speed Dating"

9 octobre 2015, Cité des Sciences et de l'Industrie

"Speed Dating métier" avec une centaine de lycéens à la cité des Sciences et de l'Industrie dans le cadre des manifestations organisées pour les 70 ans du CEA.




École de physique (e2φ), "La physique des extrêmes"

25 au 28 août 2014, Clermont-Ferrand (archives)

Découvert en 1912 lors d’un vol en ballon, le « rayonnement cosmique » est une pluie de particules résultant de la collision de noyaux avec les atomes de l’atmosphère. Ces noyaux, pour l’essentiel des protons, sont déviés par les champs magnétiques sur leur parcours dans le Cosmos, et ne peuvent nous renseigner sur leur origine. Certains d’entre eux ont été détectés à des énergies de l’ordre du Joule, une énergie comparable à celle emportée par une balle de tennis lors d’un « ace » à Roland-Garros. Ces énergies ne peuvent être puisées que dans les phénomènes les plus violents de l’Univers.
Nous décrirons les différents mécanismes susceptibles d’accélérer ces rayons cosmiques, dans la Galaxie et au-delà, et les premiers indices collectés à la recherche de leur origine. Nous passerons en revue les observatoires, gigantesques ou installés dans les lieux les plus improbables, qui permettent d’espérer percer les mystères qui continuent à les entourer.

 Présentation 125 Mo (pptx)

Exposé sur le rayonnement cosmique à 250 professeurs du secondaire.


Bar des sciences - Les observatoires de demain

4 décembre 2013 - 19h10
Café du Pont-Neuf, 14 quai du Louvre, Paris 1

L'extrêmement grand télescope européen (E-ELT) est un projet de télescope optique et infrarouge géant de 39m de diamètre, le plus grand jamais construit ! Il sera installé au Chili au début des années 2020. Il intégrera les technologies les plus en pointe en optique comme l'optique adaptative, pour permettre de profiter non seulement de son pouvoir collecteur gigantesque mais aussi de son immense pouvoir séparateur, malgré les perturbations de la turbulence atmosphérique et les effets du vent sur sa structure. A titre d'exemples, il devrait permettre la caractérisation des toutes premières galaxies de l'univers, de la matière autour du tour noir central de notre galaxie et des exoplanètes de type Terre les plus proches de nous.

A l’horizon 2020, l’observatoire CTA (Cherenkov Telescope Array) comportera une centaine de télescopes observant la lumière ténue engendrée par les rayons gamma lors de leur entrée dans l’atmosphère. Émis par les restes d’explosion d’étoile ou les trous noirs au centre des galaxies lointaines, leur détection devrait permettre de résoudre le mystère de l’origine du rayonnement cosmique, cette pluie de particule qui bombarde l’atmosphère en permanence, découverte il y a plus de cent ans.

Le James Webb Space Telescope ou JWST est le successeur du télescope spatial Hubble. Avec son miroir de plus de six mètres de diamètre, il sera alors le plus grand télescope jamais mis dans l'espace. Opérant dans l'infrarouge, il sondera l'Univers lointain pour y étudier les premières étoiles et galaxies.

Enfin, Peter Van Balmoos travaille sur un projet d’observatoire spatial de rayons X « mous », dont il nous racontera les tenants et aboutissants !

Soirée animée par Julien Rastegar, journaliste scientifique, accompagnement musical Raphaël Callandreau.


"Speed dating métiers"

CNES, Paris, 12 octobre 2012

Présentation de 3 minutes des métiers de la recherche et du quotidin des laboratoires à 6 classes de lyécéens suivie de discussions tournates pendant une heure autour d'une table.


Speed Dating grand public

Place Carrée, Forum des Halles, Paris, 11 octobre 2012

Interrogé par un animateur, faire deviner l'utilité d'un objet au public traversant le Forum des halles.




 

Soirée Cyclope
Turbulences dans l'azur

11 avril 2012
CEA Saclay, INSTN.

Découverts il y a tout juste un siècle, les rayons cosmiques sont une pluie de particules qui bombardent la Terre en permanence en provenance de notre Galaxie et au delà. Etudiés depuis les premiers vols en ballons, ils ont d’abord été un outil de découverte de l’infiniment petit. Ils sont aujourd’hui récoltés aux quatre coins du monde ou observés indirectement dans notre galaxie et ses voisines dans l’espoir de percer les nombreux mystères qui les entourent encore : d’où viennent-ils ? Quels phénomènes sont capables de les accélérer à des vitesses proches de celle de la lumière ? Quelle est leur influence sur notre quotidien ? Quelle est leur influence dans l’Univers?

Vidéo en ligne sur le site de Saclay


Entrée en matière

Esplanade du Trocadéro, Paris
19 octobre 2011

Les neutrinos, contrairement à la lumière, messager habituel de l'astronomie, peuvent traverser l'Univers sans quasiment jamais être arrêtés. Ils peuvent donc permettre de mieux étudier les phénomènes cataclysmiques qui pourraient être à l’origine du rayonnement cosmique. L'exposé expliquera comment les physiciens détectent malgré tout ces insaisissables particules grâce au télescope Antares, installé à 2500 m sous la mer Méditerranée, observant ainsi le cosmos depuis les abysses.

Retrouvez le diaporama au format Video sur la page "Antares"


Cyclope Juniors

INSTN, CEA Saclay
26 avril 2011, 20h00

Si le sous marin Nautilus, imaginé par Jules Verne, croisait aujourd’hui par 2500 mètres de fond à 11 miles nautiques au sud de l’ile de Porquerolles, près de Toulon, le capitaine Nemo découvrirait, tapi dans l’obscurité, un immense instrument de verre et de titane : douze lignes, bien plus hautes que la Tour Eiffel, réparties sur une surface grande comme la place de la Concorde. Sur ces lignes qui oscillent au gré des courants marins, 900 yeux ont le regard fixé vers les fonds marins. À y regarder de plus près, le capitaine Nemo discernerait des microphones. Il devinerait qu’ils permettent d’écouter le chant des baleines. Tous feux éteints, s’habituant à l’obscurité, il déduirait peut-être que les yeux sont là pour étudier le fourmillement lumineux de la vie abyssale. Jules Verne aurait-il pu imaginer que depuis la terre ferme, des scientifiques utilisent cet instrument pour observer le ciel ? Nous verrons en effet comment les yeux d’Antares traquent le sillage lumineux de particules produites lors de leur voyage au centre de le Terre par de très rares neutrinos. Ces neutrinos, issus des phénomènes cataclysmiques de l’Univers, explosions ou agonies d’étoiles avalées par des trous noirs géants, pourraient révéler, enfin, l’origine du rayonnement cosmique.

 

Lien alternatif Vidéo de la soirée sur le site du CEA


Logo Société astronomique de Nantes

Société astronomique de Nantes

Muséum d'histoire Naturelle
18 janvier 2010, 21h00

Antares est un télescope à neutrinos qui est en passe d'ouvrir une nouvelle fenêtre d'observation sur l'Univers. En effet, contrairement à la lumière, messager habituel de l'astronomie, les neutrinos peuvent traverser l'espace sans quasiment jamais être arrêtés. Ils peuvent donc permettre de mieux étudier les phénomènes cataclysmiques qui pourraient être à l'origine du rayonnement cosmique. L'exposé expliquera comment les physiciens détectent malgré tout ces insaisissables particules à l'aide d'un télescope situé à 2500 m sous la mer Méditerranée, observant ainsi le cosmos depuis les abysses.

Présentation (27 Mo)


Festival d'astronomie de Fleurance

Fleurance (Gers)
7 au 13 août 2010

Antares ou comment observer le ciel à 2500 m sous la mer Antares est un télescope à neutrinos qui est en passe d'ouvrir une nouvelle fenêtre d’observation sur l'Univers. L'exposé expliquera comment les physiciens détectent ces insaisissables particules en ayant installé leur télescope à 2500 m sous la mer Méditerranée, observant ainsi le cosmos depuis les abysses

Dépliant du festival (pdf) - Présentation (32 Mo)


Logo maison des polytechniciens

Maison des polytechniciens

Paris
7 avril 2010

Promotion du livre "voir l'invisible"

Ode à la vie, contemplation des beautés de l'univers, exceptionnel par la forme et par le fond, cet ouvrage a réuni une centaine de scientifiques qui nous offrent des images à couper le souffle. Elles sont belles, oui, mais, plus que cela, elles sont émouvantes.


Les mystères de l'Univers

Esplanade du Trocadéro, Paris
24 octobre 2009

Les neutrinos, contrairement à la lumière, messager habituel de l’astronomie, peuvent traverser l’Univers sans quasiment jamais être arrêtés. Ils peuvent donc permettre de mieux étudier les phénomènes cataclysmiques qui pourraient être à l’origine du rayonnement cosmique. L’exposé expliquera comment les physiciens détectent malgré toutes ces insaisissables particules grâce au télescope Antarès, installé à 2500 m sous la mer Méditerranée, observant ainsi le cosmos depuis les abysses.

Enregistrement sonore de la présentation.

Diaporama (14 Mo) - Présentation(20 Mo)


Lycées de Soissons

Lycée Gérard de Nerval
Lycée Saint-Rémy
17 décembre 2008
Présentation (33 Mo)

Rencontres du ciel et de l'espace

Cité des sciences et de l'industrie de la Villette, Paris
10 novembre 2008
Affiche "le grand récit de l'Univers"

Exposition le grand récit de l'Univers

Cité des sciences et de l'industrie de la Villette, Paris
14 juin 2008

Lycée Augustin Thierry à Blois

Dans le cadre de la conférence Blois 2008
20 mai 2008
Affiche du salon de livre 2008

Salon du livre

Bar des sciences sur le neutrino
Stand du ministère de la recherche
18 mars 2008

Fête de la Science

Ferme du Moulon, Gif-sur-Yvette
12, 13 et 14 octobre 2007
Album photo

Interview, fête de la Science 2007



L'Union, 21 mai 2007

L'Union Avril 2006 L'Union, avril 2006

L'Union avril 2006

Exposés à Soissons

Antares, club d'astronomie de Soissons
2006 et 2007
Antares, lycée Gérard de Nerval,Soissons
Antares, lycée Saint-Rémy, Soissons
2005, 2006 et 2007

CEA INSTN

L'énigme des neutrinos solaires,
Stage pour les professeurs du secondaire et
déjeuner rencontre avec des lycéens de Narbonne
1994

Séminaire sur Gallex
Stage pour les professeurs du secondaire
juin 1993

Conférence sur Gallex,
CEA/INSTN
novembre 1992


Lycée de Champs sur Marne

Exposé à 120 1ère S, 1990